Commentaires

  1. Avez-vous une analyse et un avis sur le V2X, V2H Vehicle-to-Home et V2G Vehicle-go-Grid, qui devrait permettre dans un avenir proche d’utiliser la batterie de la voiture comme solution de stockage ?

    1. Bonjour,
      Tout d’abord il faut détailler un peu les acronymes, sinon le propos perd de son intérêt.
      Le V2L (vehicle-to-load ou véhicule vers des appareils électriques portables). C’est le principe de la charge bidirectionnelle, qui permet à la voiture d’utiliser le réseau électrique pour se charger, puis d’utiliser cette réserve d’électricité comme « carburant » ou pour faire fonctionner des appareils électriques externes (éclairage, glacière, pendant du camping, sono, etc…)
      Le V2 H (vehicle-to-home ou du véhicule vers la maison): On élargit l’usage, en plus de la fonction « carburant » on utilise l’électricité stockée dans les batteries pour alimenter la maison, actuellement cette technologie est limitée à certains modèles de voitures.
      Le V2G : (vehicle-to-grid ou du véhicule vers le réseau) même principe que le V2H, mais là l’électricité part directement dans le réseau
      V2X : (vehicle-to-everything ou du véhicule vers une source indéfinie) là c’est le top, puisqu’on peut tout faire, utiliser sa voiture, alimenter la maison, le réseau…
      Il y a 2 éléments majeurs le réchauffement climatique, et la demande exponentielle d’ENR, ou le soleil et le vent sont par définition incontrôlables, avec le risque de gaspillage si on ne la consomme pas, le stockage sous toutes ses formes, y compris en batterie de voitures et une des solutions, souhaitons que les constructeurs accélère le passage de leur batterie à la version V2X.

      ange
      Bénévole

  2. Bravo pour votre synthèse « Stockage virtuel ».
    A sa lecture, amateur de solutions simples, voire simplistes, une idée me vient à l’esprit : Si l’on veut bien accepter le principe philosophique que le soleil brille pour tout le monde gratuitement (dixit Diogène), seul restant à facturer son stockage et son transport, on pourrait imaginer un système où les Etats (ou l’Europe) auraient le monopole de sa distribution (fixation d’un « prix de marché ») et la revente du surplus serait donc interdite. Ce surplus serait obligatoirement cédé gratuitement à la collectivité, un peu comme un impôt bénévole, en contrepartie de la suppression de toutes les taxes (inclus la TVA). Fini les casse-tête administratifs, les contrats à 20 ans et les acrobaties pour éviter d’exporter.
    Les citoyens photovoltaïques seraient t’ils devenus les sauveteurs de la planète ?
    Idée à soumettre aux élus de tout bord.
    Philippe

    1. Bonjour,
      Nous avions proposé cette solution il y a de nombreuses années à nos élus, sans résultats.
      Vous savez qu’en France la simplicité fait peur, c’est pour cela que nous avons décidé de trouver des solutions seuls.
      Bonne journée.

  3. En effet pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué… c’est la France !
    Et de mon coté, je combat ce système de la complexité.

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